L’exposition : Beauté, morale et volupté dans l’Angleterre d’Oscar Wilde

Beauté, morale et volupté dans l’Angleterre d’Oscar Wilde

L’article auquel nous nous intéressons à présent, est tiré du site du musée d’Orsay. Site, que nous avons déjà pu voir, précédemment dans l’article « De l’inspiration commune« 

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Ce site retrace toutes les expositions ayant eu lieu, et celle à venir. Ceci en images avec de petites explications relativement succinctes mais complètes qui vont faire comprendre très facilement au visiteur, les intérêts et enjeux de l’exposition.

Aujourd’hui nous allons donc nous intéresser à l’exposition nommée Beauté, morale et volupté dans l’Angleterre d’Oscar Wilde, qui a eu lieu de septembre 2011 à janvier 2012 au musée.

Une courte explication nous est donné sur l’exposition mais il est possible à l’internaute de retrouver une présentation plus détaillée en cliquant sur l’hyper lien  > Vers la présentation détaillée.

Le visiteur tombe alors sur un texte expliquant plus longuement l’exposition et ses différentes parties. Celui ci est accompagné d’oeuvres. On apprécie une fois de plus l’aspect organisé du site du Musée d’Orsay. Avec ces couleurs, et ces grands espaces laissés blancs, le visiteur n’est pas perdu dans la multitude des informations. Ceci est donc très appréciable.

De plus il est possible à tout moment de partager cette page sur les réseaux sociaux, l’envoyer en mail… Différents outils sont à la disposition du visiteur. Et celui ci peut à tout moment retourner sur les pages précédemment vues ou aller dans la rubrique Conférences, Colloques… Chaque onglet ouvert n’est pas fermé, mais cela est très bien organisé toutefois. Ces pages sont disponibles en différentes langues Anglais, Allemand, Espagnol et Italien.

Concernant notre sujet, cet article est tout particulièrement intéressant car il évoque l’érotisme romantique qui va se développer durant le XIXème siècle en Angleterre notamment.

De là sont issus des grands peintres tels que Leighton ou Watts … Il s’agit donc ici de nous montrer une nouvelle vision de la beauté féminine représentant une sensualité assumée.

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George Frederic Watts (1817-1904), Portrait d’Alice Ellen, v.1864,

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Frederic Leighton (1830-1896), Pavonia, 1858-1859, Huile sur toile, 53 x 41,5 cm, collection particulière, Courtesy Christie’s, Londres.

Il nous a donc semblé intéressant de mettre en avant, cette pratique plus érotique mais encore très timide et bien loin des oeuvres comme celles d’Ingres avec ces nues féminins. Cet érotisme est encore très réservé mais est une nouvelle vision de la femme et de la beauté féminine en Angleterre qu’il faut prendre en compte pour traiter le sujet de l’érotisme en peinture de façon complète.

En conclusion, le site du Musée d’Orsay est comme d’habitude très agréable d’utilisation pour son accessibilité et sa facilité de manipulation. De plus, l’article que nous vous présentons est très intéressant puisqu’il montre une autre partie de l’érotisme des années 1800 avec une sensualité assumée mais très controversée à l’époque. Les images d’oeuvres qui illustrent ce propos montrent très bien l’érotisme des figures ici présentes.

 Julie R.

John William Waterhouse, Sainte Cécile, 1895

John William Waterhouse (1849-1917), Sainte Cécile, 1895, Huile sur toile, 123,2 x 200,7 cm, Collection particulière, Londres, Christie’s.

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